la culture du Canada

Le Canada est une destination privilégiée des touristes pour ses paysages sauvages et son folklore typique. Les deux langues officielles, le français et l’anglais, permettent à tous les francophones de communiquer plus ou moins facilement en fonction de la région que vous souhaitez découvrir.
Mais la faune et la flore ne sont pas les seules raisons de profiter d’un séjour touristique au Canada. Les canadiens sont très attachés à leurs traditions et à leurs festivités locales. Un circuit au Canada permet ainsi de se reposer dans une nature verdoyante, tout en profitant de la bonne humeur de la population.
Tradition et artisanat au Canada.

Les canadiens sont très attachés à leurs traditions. L’une des traditions canadiennes les plus connues est « la tire ».

Après chaque hiver, le sirop d’érable, symbole du pays, est récupéré et chauffé. Au bout de quelques instants, il est étalé dans de la neige et récupéré figé en filaments ou sur un petit bâtonnet. Cette tradition est de rigueur lors d’une fête locale, la « fête du Sucre ».

Autre tradition millénaire et chère au cœur des canadiens, la musique.
Récente ou traditionnelle, en groupe ou individuelle, la musique est jouée, même en amateur, par la plupart des habitants. Les rythmes et les chants traditionnels sont régulièrement réinterprétés par des artistes canadiens et mondiaux. Les passionnés de tout style musical ne pourront que s’émerveiller face à cette diversité vocale, musicale et instrumentale, qui évolue dans chaque province du pays.

Le territoire canadien étant pour majeure partie composé de végétation, la plupart de l’artisanat tourne autour du bois et de son travail, mais également de la verrerie et de la taille de pierre. Dans les villes et villages, plusieurs artisans vous ouvrent

leurs portes et vous font découvrir leur métier, et leur passion.

Les canadiens sont très attachés à leurs traditions. L’une des traditions canadiennes les plus connues est « la tire ».

Après chaque hiver, le sirop d’érable, symbole du pays, est récupéré et chauffé. Au bout de quelques instants, il est étalé dans de la neige et récupéré figé en filaments ou sur un petit bâtonnet. Cette tradition est de rigueur lors d’une fête locale, la « fête du Sucre ».

Autre tradition millénaire et chère au cœur des canadiens, la musique.
Récente ou traditionnelle, en groupe ou individuelle, la musique est jouée, même en amateur, par la plupart des habitants. Les rythmes et les chants traditionnels sont régulièrement réinterprétés par des artistes canadiens et mondiaux. Les passionnés de tout style musical ne pourront que s’émerveiller face à cette diversité vocale, musicale et instrumentale, qui évolue dans chaque province du pays.

Le territoire canadien étant pour majeure partie composé de végétation, la plupart de l’artisanat tourne autour du bois et de son travail, mais également de la verrerie et de la taille de pierre. Dans les villes et villages, plusieurs artisans vous ouvrent leurs portes et vous font découvrir leur métier, et leur passion.

Festivités et jours fériés au Canada

Si certains jours fériés au Canada sont communs à tout le pays, d’autres ne concerne que certaines provinces.
Il convient donc de se renseigner précisément sur les jours considérés comme fériés dans la province où vous séjournez.
Les jours fériés les plus connus au Canada (à l’exception des traditionnels 1er janvier et 25 décembre) sont le vendredi saint, 1er juillet (jour de la fête du Canada), et 1er lundi de septembre (jour correspondant à la fête du travail canadienne). Le 3ème lundi de février s’appelle, selon les provinces, la journée Louis Riel, la fête des insulaires ou la fête de la famille.

Plusieurs festivités locales sont appréciées de tous, et peuvent se dérouler sur un jour férié. Parmi les festivités à ne pas manquer, le jour de la Marmotte (2 février), qui a d’ailleurs inspiré le 7ème art, le jour du Drapeau National (15 février) ou encore la fête du Canada (qui correspond à notre fête nationale mais qui, elle, est fêtée le 1er juillet) vous permettent de profiter de la joie des canadiens et de leur bonne humeur communicative.

Un séjour au Canada permet de rapprocher nature et traditions locales, tout en profitant des aspects typiques de chacune. Le folklore canadien, qu’il se traduise dans la gastronomie, dans la musique, ou encore dans les arts, permet à tous de sélectionner son moment privilégié, à la saison et à l’endroit de son choix.
La chaleur humaine des canadiens compense très aisément les quelques degrés en moins dans l’air et incite à découvrir et redécouvrir le Canada à tout moment.

Histoire du Canada

L’histoire du Canada ne commence pas avec l’arrivée des explorateurs européens il y a plus de 500 ans; le pays que nous appelons désormais le Canada est habité depuis des milliers d’années.

.Les premiers habitants du Canada

Des siècles avant que les Européens commencent à s’établir en Amérique du Nord, les explorateurs trouvent sur le continent des sociétés inuites et des Premières Nations prospères qui ont leurs propres croyances et modes de vie ainsi que de riches histoires.

Lorsque les premiers explorateurs européens arrivent au Canada, ils constatent que toutes les régions sont habitées par des Autochtones, qu’ils appellent « Indiens », croyant avoir atteint les Indes orientales. Ces peuples vivent de la terre, certains de la chasse et de la cueillette et d’autres, de l’agriculture.

Comme les Iroquois, les Hurons-Wendats de la région des Grands Lacs sont, comme les Iroquois, des agriculteurs et des chasseurs. Les Cris et les Dénés du Nord-Ouest sont des chasseurs-cueilleurs et les Sioux des nomades qui suivent les troupeaux de bisons. Les Inuits se nourrissent des animaux sauvages de l’Arctique. Les Autochtones de la côte Ouest font sécher et fumer le poisson pour le conserver. Les groupes autochtones se font souvent la guerre pour agrandir leur territoire, maîtriser les ressources et accroître leur prestige.

L’arrivée des commerçants de fourrures, des missionnaires, des soldats et des colons européens modifie à jamais le mode de vie autochtone. Plusieurs Autochtones meurent de maladies transmises par les Européens, contre lesquelles ils ne sont pas immunisés. Malgré tout, durant les 200 premières années de leur coexistence, Autochtones et Européens forment des liens économiques, religieux et militaires solides qui jettent les bases du Canada.

Le nouveau Dominion du Canada

Le Canada est aujourd’hui formé de dix provinces et trois territoires.

Cependant, lors de la proclamation de l’Acte de l’Amérique du Nord britannique en 1867 (aujourd’hui les Lois constitutionnelles, 1867 à 1982) créant le nouveau Dominion du Canada, il n’y a que quatre provinces : l’Ontario, le Québec, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick.

Territoires du Nord-Ouest et Manitoba

L’année 1870, trois ans après la Confédération, apporte de nombreux changements historiques en matière de possession des terres, dont les suivants :

  • Le Canada acquiert la Terre de Rupert, propriété de la Compagnie de la Baie d’Hudson, en vertu d’une charte qui lui avait été octroyée par le gouvernement britannique exactement deux siècles plus tôt. La Terre de Rupert comprenait tout le territoire drainé par les cours d’eau se jetant dans la baie d’Hudson — soit approximativement 40 p. 100 de la superficie actuelle du Canada. En retour, la Compagnie obtient 300 000 livres sterling.
  • La Grande-Bretagne transfère le Territoire du Nord-Ouest au Canada. Auparavant, la Compagnie de la Baie d’Hudson détenait un permis exclusif pour les échanges commerciaux dans cette région, qui s’étendait à l’ouest jusqu’à la colonie de la Colombie-Britannique, et au nord jusqu’au cercle polaire. Lorsqu’on découvre, au milieu du XIXe siècle, que les terres des Prairies sont extrêmement fertiles, la Grande-Bretagne refuse de renouveler le permis de la Compagnie. Celle-ci se retire du territoire, et la Grande-Bretagne l’offre au Canada.
  • La Terre de Rupert et le Territoire du Nord-Ouest sont réunis sous le nom de Territoires du Nord-Ouest, et le Manitoba est par la suite créé à partir d’une petite portion de ces territoires.

Colombie-Britannique, Île-du-Prince-Édouard et Yukon

D’autres changements aux limites territoriales du Canada surviennent au cours des années suivantes :

  • En 1871, la Colombie-Britannique se joint à l’Union, qui promet de construire une ligne de chemin de fer la reliant au reste du pays.
  • En 1873, l’Île-du-Prince-Édouard, qui avait déjà refusé de se joindre à la Confédération, devient la septième province du Canada.
  • Le Yukon, qui était un district des Territoires du Nord-Ouest depuis 1895, devient un territoire autonome en 1898.

Saskatchewan et Alberta

Entre-temps, comme son voisin du sud, le Canada ouvre les territoires de l’Ouest à la colonisation; des migrants de l’est du Canada et des immigrants d’Europe et des États-Unis viennent bientôt s’installer dans les Prairies, qui font encore partie des Territoires du Nord-Ouest. En 1905, la Saskatchewan et l’Alberta sont créées, complétant ainsi la carte de l’Ouest canadien.

Terre-Neuve et Nunavut

En 1949, après d’interminables débats et deux référendums, les résidents de Terre-Neuve votent pour l’annexion à la Confédération, créant ainsi la dixième province canadienne.

Le 1er avril 1999, une portion de 1,9 million de kilomètres carrés des Territoires du Nord-Ouest, dans l’Arctique de l’est du Canada, devient le Nunavut.

Le sport au Canada

Le Canada est une grande nation sportive. La façon dont le sport est pratiqué au Canada de nos jours dépend d’un certain nombre de facteurs, dont le fait que notre climat compte quatre saisons, ainsi que la réalité géographique et la diversité sociale. Par exemple, la crosse, notre sport national d’été, était déjà pratiquée par les peuples authochtones il y a près de 1 000 ans. Le hockey, notre sport national d’hiver, a été inventé au Canada dans les années 1800, alors que le basketball a été inventé en 1891 par un Canadien, le Dr James Naismith, dans le but de préserver la condition physique des jeunes athlètes pendant l’hiver. Aujourd’hui, le soccer est le sport le plus populaire chez les enfants canadiens.

Notre système sportif permet aux Canadiens de tous horizons de participer à des activités sportives de qualité, dans tous les contextes de la pratique sportive. De l’enfance à la vie adulte, le sport fait partie d’un mode de vie sain et actif.

Système sportif canadien

Le système sportif canadien est composé de plusieurs organismes, qui ont chacun un rôle à y jouer. Certains offrent aux Canadiens un accès au sport et aident les athlètes à prendre part aux compétitions et réussir. D’autres sont responsables de l’accueil d’événements sportifs.

Participation au sport du gouvernement

En tant que principal investisseur dans le système sportif amateur du Canada, le gouvernement du Canada joue un rôle important à l’intérieur de ce système. Par l’entremise de Sport Canada, le gouvernement élabore des programmes et des politiques pour aider le système sportif à répondre aux besoins des Canadiens.

Les gouvernements provinciaux et territoriaux, de même que le secteur privé et le secteur sans but lucratif, fournissent également des programmes et du financement à l’appui de la participation et de l’excellence dans le sport.

Politique canadienne du sport

Le point commun entre les gouvernements, les institutions et les organismes qui composent notre système sportif est la Politique canadienne du sport. La Politique canadienne du sport, la version actuelle étant en vigueur de 2012 à 2022, établit une orientation à suivre par les gouvernements, les institutions et les organismes pour s’assurer que le sport a des répercussions positives sur la vie des Canadiens, nos collectivités et notre pays.

Objectifs de la Politique canadienne du sport

La Politique, qui vise la hausse du nombre et de la diversité des Canadiens qui participent à des activités sportives, est divisée en cinq grands objectifs :

  • Initiation à la pratique du sport : Les Canadiens possèdent les habiletés fondamentales, les connaissances et les attitudes essentielles à une pratique sportive, organisée ou non.
  • Sport récréatif : Les Canadiens ont la possibilité de faire du sport pour le plaisir, la santé, l’interaction sociale ou la détente.
  • Sport compétitif : Les Canadiens ont la possibilité de s’améliorer continuellement et de se mesurer à d’autres athlètes dans un contexte sécuritaire et éthique.
  • Sport de haut niveau : Les athlètes canadiens obtiennent systématiquement d’excellents résultats dans le cadre de compétitions internationales de haut niveau, et ce, de manière juste et éthique.
  • Sport pour le développement : Le sport est mis à profit pour favoriser le développement économique et social et promouvoir des valeurs positives sur la scène nationale et internationale.